Collection Rêve Et Réalité. Bonjour Ma SœUr (3/3)

« Bonjour ma sœur. »

C’est comme cela que nous nous sommes rencontrés Adeline et moi dans ce wagon de TGV nous rendant à Bordeaux chacun de notre côté pour revoir nos parents.
Nous avons vu les siens, mais les miens nous verrons cela plus tard.
Cette bonne sœur, je finis par la baiser la ramenant chez moi non loin du couvent où elle avait trouvé refuge après des turpitudes de jeunesse.

« Que se passe-t-il, tu me ramènes à mon couvent ? »

Nous passons devant sans nous arrêter.
Comme prévu nous quittons la haute Savoie pour le département de Savoie où mon chauffeur nous dépose devant mon hôtel 5 étoiles dans le village de neige où je le dirige.
J’ai repris la suite de mes parents qui dans mon changement de programme j’ai oublié d’aller voir.
Qu’importe, ils ignoraient que je venais, je voulais leur faire la surprise de venir fêter les cinq ans de ma prise de fonction et leur départ à la retraite.

• Bonjour monsieur, je vois que vous avez fait bon voyage.
• Très bon Sacha, je vous présente Adeline, ma fiancée.

J’ai failli dire « Adeline de l’ Jésus, ça aurait surpris les personnes présentes.

• Montez nos affaires dans mes appartements, faites attention à ce paquet, c’est un peu fragile.

Adeline écarquille les yeux lorsque le personnel vient nous saluer.
Dans un hôtel comme le nôtre, c’est un petit monde très fermé, comme une traînée de poudre, ils veulent tous voir cette magnifique blonde que je tiens par la main.

• C’était là ton mensonge !
• Oui, chaque fois que je dis à une jeune femme qu’étant célibataire, je dirigeais un tel hôtel, j’ai souvent vu de la concupiscence.
En te mentant, j’ignorais que tu viendrais avec à ton doigt ma bague de fiançailles.
Mais nous verrons pour t’en offrir une bien plus belle dans les jours prochains.
• Hors de question, ta demande près du taxi était émouvante, j’y tiens comme à la prunelle de mes yeux.



J’embrasse furtivement Adeline, alors que nous sommes devant Gabrielle, l’une de nos réceptionnistes.
Dans un hôtel comme le mien, le nombre de postes souvent doublés, voire triplés, est impressionnant.
Plus de 100 personnes font fonctionner ce grand paquebot perché à flanc de colline presque au centre du village.
Gabrielle, légèrement plus vieille que moi, je l’ai connue depuis presque 20 ans lorsque mon père l’a embauchée.
Tous ceux que nous rencontrons ou qui viennent voir Adeline semblent heureux, elle me tire une tronche pas possible.
Je savais cette jeune femme amoureuse de moi et le nombre de fois qu’elle a voulu m’attirer dans la chambre où elle réside non loin d’ici est impressionnante.
Mais une règle d’or appris par mon père, interdiction de toucher au personnel ou à la clientèle.

Le personnel, j’ai suivi son conseil, les clientes, un peu moins.
En saison, il m’est arrivé de craquer sur une femme esseulée, le mari skiant en hiver ou crapahutant à flanc de montagne en été.
L’hôtel est ouvert du mois de mai à fin septembre, en octobre avant la saison d’hiver, fais ce qu’il te plait.
J’avais 16 ans pendant mes vacances d’été travaillant au roomservice mon père m’imposant de passer de service en service pour tout connaître des différents métiers que frappant à la porte d’un couple, on m’a demandé de rentrer.
La femme m’a ouvert la porte voulant simplement une bouteille d’eau fraîche malgré la clim dans cette chambre.
Elle était entièrement nue, les seins un peu tombants.
Mais lorsqu’elle m’a attiré sur son lit, me montrant sa chatte épilée, tous les interdits de mon père ont volé en éclat.
La pénétrant, j’ai perdu mon pucelage.
Pendant les quelques jours où elle a été présente,je me suis transformé en rat d’hôtel trouvant toujours le moyen de regagner sa chambre.
Elle m’a même commandé un repas en amoureux avec son mari.
Il devait avoir plus de 70 ans, ce soir-là, elle était en robe du soir et lui dans la salle d’eau.

Il était dans son bain, car il lui parlait pendant qu’elle me suçait.
J’allais commencer d’installer la table, mais avant elle a relevé sa robe et ce sont ses seins dessus que j’avais dégagés de sa robe que je l’ai prise entrant comme dans du beurre tellement elle mouillait.
J’ai déchargé, fini mon travail, au moment où je quittais la chambre, la femme ayant retrouvé une tenue normale, l’homme est sorti de la salle de bains.
Me voyant, il est allé sur un guéridon de l’entrée et m’a remis un billet de 100 €.
Un instant j’ai eu l’impression d’être pute que le mari payait étant dans l’impossibilité de satisfaire une telle chaudasse.

À la fin de l’été, cette première femme ayant été le déclencheur, lorsque j’ai rejoint mon lycée, j’étais le coq de tous mes copains.
Je dois dire, que chaque soir, j’allais en boîte et que comme par effet de répétition, les meufs qui me refusaient ignorant qui j’étais, tombaient toutes comme des mouches.

Nous montons dans mes appartements.
J’entraine Adeline sur mon balcon.
La vue sur le mont Blanc est magnifique, les neiges éternelles sur les sommets brillent sous le soleil.
La garde-robe d’Adeline étant encore réduite, elle a la même robe que chez ses parents.
Je la plaque sur la rambarde du balcon en bois, je lui passe une main par l’échancrure empommant son sein.
Sa fraise, que j’ai trouvée très sensible chaque fois que nous avons fait l’amour se met à bander.
Je soulève le bas de sa robe, elle se laisse faire, j’ai réussi à lui donner goût au sexe.
Deux doigts dans sa fente, elle est mouillée plus que de raison.
Alors qu’au pied de l’hôtel, une Bentley s’arrête, j’entre en elle pour notre plus grand plaisir.

• Là, tu as le mont Blanc, le mont à côté, c’est...

Je lui fais découvrir le magnifique panorama dont j’ai eu la chance d’hériter en plus de l’hôtel.
Chaque mont ou aiguille, c’est un coup de sexe que je lui mets.

Comme depuis la première fois où nous avons fait l’amour, je suis obligé de quitter son sein pour museler sa bouche.
Je viens d’entendre des gens parler sur le balcon sous le nôtre.
Est-ce un signe du destin, c’est principalement la chambre où j’ai perdu mon pucelage.

Ça fait quelques jours qu’avec Adeline nous sommes rentrés, lorsqu’elle vient me trouver dans mon bureau.

• Adrien, je voudrais me rendre utile dans ton hôtel, au couvent je tenais la comptabilité, j’aimerais y travailler.
• Ma chérie, tu veux te rendre utile, la comptabilité, un jour peut-être, je vais faire pour toi ce que mon père a fait pour moi.
Madame Agathe, pouvez-vous venir dans mon bureau.
• Oui, monsieur, un problème ?
• Aucun, madame Adeline souhaite se rendre utile, prenez là au service du nettoyage des chambres pendant 15 jours.
• Bien, monsieur Adrien, madame suivez-moi que je vous donne une tenue.

Dans les jours suivants, je me suis amusé à venir traîner dans les chambres, voire ma chérie, changer les draps, nettoyer les toilettes des salles de bains.
Ça m’a rappelé le temps où moi aussi je suis passé par là.
Après, je prends un risque, je confie Adeline à Gabrielle à la réception.
Contre toute attente, tout va bien, j’ai su plus tard qu’elle allait se marier avec le fils du charcutier qui approvisionne les frigos de notre restaurant trois fourchettes comme il se doit.
Les cuisines, elle y travaille, mais j’évite le roomservice, certainement un peu jaloux de ces hommes très bronzés qui viennent dépenser leur fric sur les pistes en trouvant à baiser chaque fois qu’ils le peuvent.

L’été terminé, le 1er octobre, nous fermons sauf cette année où tout notre personnel reste à son poste.
Des cuisiniers aux bagagistes, tous sont fiers de marier leur patron avec celle qui est entre-temps devenue la patronne.
Comme mon père me l’a fait faire, elle a fini le tour des différents services d’un palace comme le nôtre.

Mes parents sont là profitants de leur séjour pour retrouver leurs anciens employés et aussi les nouveaux que j’ai embauchés depuis ma prise de fonction.
Mes beaux-parents sont là aussi, fiers du parcours que leur fille a fait.
Lorsque nous sommes allés les chercher à la gare, nous sommes passés devant le couvent où Adeline a renvoyé sa bague en attente de celle que nous allons nous passer samedi.
Au passage devant la porte, j’avais la main sur mon levier de vitesses, elle pose sa main sur la mienne en m’envoyant un regard plein d’amour.
Deux cents personnes dont 60 dans les différentes chambres.

• Oui, je le veux.

Lorsqu’elle me dit oui, le curé la regarde, lors de la préparation de la cérémonie, le père Jean lui a demandé s’il la connaissait, elle lui faisait penser à quelqu’un.
Quand il la voyait au couvent à confesse, la coiffe et la cornette changeait complètement la personnalité qu’il avait devant lui.

La fête a eu lieu, pourquoi serions-nous aller passer notre nuit de noce à un autre endroit que dans notre lit avec vue sur le mont Blanc ?
Dès que je lui ai ôté sa robe, elle a mis sa coiffe et sa cornette que nous avons sorties de son emballage.
Qui lors de sa nuit de noces lorsque je prends mon épouse en levrette peut contempler le cul d’une none avec sa coiffe et sa cornette en lui disant.

• Bonjour ma sœur !

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!